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Pitbull
18/06/2007 02:35
Armando Christian Pérez alias Pitbull est un rappeur et reggaetonero américain d'origine cubaine né en 1981 à Miami. Pitbull se produit avec de nombreux rappeurs américains tels que Lil' Jon, Fat Joe, Trick Daddy. Il mélange beaucoup plus le style musical Hip-Hop et le reggaeton. En 2006, afin de venir en aide au immigrants latino américains aux USA Pitbull enregistre "Nuestro Himno" avec Wyclef Jean, Carlos Ponce, et Olga Tañón.
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Lil Wayne
18/06/2007 02:41
Lil Wayne est né et a grandi dans un des quartiers les plus violents de la Nouvelle Orléans, Holygrove. Bien avant d'avoir du poil, il s'essaie au rap à l'écoute des Pimp Daddy et UNLV locaux ; il rêve qu'il va devenir un rappeur à la mode, et c'est de son âge. Et puis comme dans tout conte, il y a la rencontre d'une bonne fée, à savoir Baby a.k.a. The Birdman à une séance de dédicace organisée par le boss de Cash Money Records en l'honneur de Lil Slim, une signature du label en provenance d'Holygrove. Wayne se présente devant le patron, rappe, et repart avec un numéro de téléphone sur un bout de papier. Classique. Quelques mois plus tard, le gamin est intégré au roster Cash Money… Il a à peine 12 ans et n'a plus ni père, ni beau-père (meurtres). Un psychologue vous expliquerait cela bien mieux que moi mais on comprend assez vite la place qu'a pu prendre Baby dans la vie de ce pré-ado arrivé bien trop tôt à maturité. Lui qui, en 2005, vient de reprendre des études de psychologie à l'Université de Houston, aura sûrement le temps de revenir sur ce parcours, le cul dans un large canapé en cuir.
"C'est comme un fils pour moi, alors je suis fier de lui.
Ce n'est pas seulement une victoire pour moi et le label,
il représente encore plus la Nouvelle Orléans."
- Baby a.k.a. The Birdman, commentant la place de numéro 2 au Billboard de "Tha Carter II".
D'emblée (soit dès sa première apparition en 1995 sur l'album "True Story" de son team-mate B.G.) les textes du jeune Dwayne Carter ne sont pas ceux d'un gamin de son âge. La faute, vous l'aurez compris, à un environnement plutôt brutal. Extrait :
"Niggas be tryin to creep
So you better watch your back
Fore a Holly Grove nigga run all in your set
So much love for them niggas out that Y 17
That Holly Grove in affect, its all good
It goes...check it...
'H' is for High
Like we always get
We gettin blunted, sessed, smokin Bobo Bush
Then the 'O' is for Olly, bracin real, real niggas
Double 'L' is for Low Life
Who love to pull the trigga
The 'Y' is for Yes y'all
Yes, Yes, my brotha
I'm Baby G from that Grove motha f**ka
The 'G' is for Gat
The 'R' is for Ratta tat!
I'm his back Boom Boom Boom
'Cuz its like that
'O' is for Only
Only Holly Grove
The 'V' is for Villion
Them wild, wild, soljas
'E' is for Eagle
Yes the Eagles took me through some real, real, gangstas
Out the Y 17"
Rappelons tout de même que lorsqu'il écrit cela le bougre n'a pas treize ans. En 1997, quand "Get It How You Live" sort, il est le plus jeune des Hot Boyz, et sans doute un des plus talentueux à s'exprimer sur les beats de Mannie Fresh. Aux cotés de Juvenile, B.G., et Young Turk, Wayne fait parler la poudre et l'album atteint en quelques semaines les 500 000 ventes dans le sud des USA. Un succès qui encrera le nom de Lil Wayne dans la tête des fans. Le succès des Hot Boyz se vérifiera quelques mois plus tard avec l'accueil réservé à la sortie d'un deuxième album, "Guerilla Warfare", en plein cœur d'une période très faste pour le label Cash Money (avec le premier album des Big Tymers, "How You Luv That?", et surtout l'incroyable succès du "400 Degreez" de Juvenile).
"I don't have to prove anything, because my growth as a rapper and as a lyricist can be heard in my music."
A 16 ans, Lil Wayne a l'opportunité de démarrer son parcours solo, sous l'aile protectrice de "papa" Birdman et grâce au formidable accélérateur de carrière qu'a représenté le groupe Hot Boyz pour Juvenile, B.G. et lui. Ainsi en 1999 sort "Tha Block Is Hot", entièrement mis en son par l'indispensable Mannie Fresh. Wayne y reçoit le coup de main bien utile de tous ses partenaires de label, rendant le projet sans doute moins personnel. Pas grave, nombreuses sont les séquences où Weezy crache à la gueule du sud son venin, encore un peu jeune, en cours d'affinage. Une période de maturation qui durera 5 ans, et deux albums, encore imparfaits, "Lights Out" et "500 Degreez".
"I'm the best rapper alive since the best rapper retired."
En 2004, la référence de son "Tha Carter" est évidente : Jay-Z, le modèle désormais retiré du circuit. C'est le début de l'épanouissement, la naissance d'un artiste complet. Le succès débordera assez largement les frontières du sud. Weezy déclame un rap plus fin que la plupart de ses collègues du dirty south. Une vraie personnalité s'affirme aux entournures, une vraie plume aussi. Les trois quarts des morceaux réconcilient le rap pompier avec la qualité lyricale. Lil Wayne est sur le point d'entériner l'idée qu'il existe un dirty south de qualité supérieure.
"So many doubt cuz I come from the south but when I open up my mouth, all the bullets come out"
- 'Shooter' ("Tha Carter II", 2005)
Bien sûr que ca sentait bon, qu'il aurait fallu écouter "Tha Carter" comme un heureux présage; mais qui pouvait sérieusement s'attendre à ce que la suite soit aussi maîtrisée? Le featuring sur le single 'Soldier' des Destiny's Child ne nous avançait pas tant que ça…
Le buzz a pourtant enflé tout au long de l'année 2005, à grand coup de mixtapes toutes plus alléchantes les unes que les autres. Lil' Wayne, qui au contraire de bon nombre d'anciens soldats du label Cash Money a choisi de rester fidèle à Baby (tout en créant une sous structure, Young Money Entertainment), a enregistré en quelques semaines le disque que personne ne voyait venir. Une suite, sobrement intitulée "Tha Carter II", qui a véritablement propulsé son auteur dans une nouvelle catégorie. Passé chez les poids lourds, chez les héritiers crédibles, réconciliant le sud avec l'émotion, l'écriture, l'humour, le génie, avec un rap unique, inédit, mais rempli de références, il a plus que réussi un pari qui paraissait suicidaire. Cerise sur le gâteau, le succès commercial est au rendez-vous. De quoi encourager le bonhomme à suivre une voie qu'il a lui même tracée.
Déjà Universal s'affole et envoie un contrat par jour, Cam'ron voudrait voir le phénomène intégrer le Dipset, les rumeurs le donnent en beef avec la terre entière… Autant d'éléments qui annoncent la naissance d'une légende, pour peu que l'on croie que l'histoire du rap bégaie lorsqu'un talent hors du commun émerge.
Pendant ce temps, de son domicile de Miami, le nouveau prince prépare la suite… Avec son groupe Young Money (au sein duquel il partage le micro avec Curren$y, Mack Maine, et Boo), et en solo, avec la promesse d'un Carter III, IV, V… Quelque chose qui sonne désormais comme une dynastie discographique. Nouveau Jay-Z? Nouveau Biggie? Nouveau Nas? Nouveau Tupac? Nouveau Rakim? Juste un rap génial, fait pour faire de l'argent. Qui dit mieux? Au sud, personne.
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mase
18/06/2007 02:52
Mason Betha est né il y a vingt ans à Jacksonville, en Floride. Il fait partie d'une famille six enfants. A l'âge de cinq ans, la famille Betha déménage et s'installe à Harlem au coeur de New-York. Enfant, Mase est un bon élève se vouant au basket et à l'Eglise dès qu'il a un moment de libre. Sa mère voyant les dangers du ghetto, le renvoie dans le Sud pour essayer d 'éviter à son fils de céder aux tentations néfastes de la rue. Il revient à NYC vers l'âge de 15 ans, et s'intéresse de très près à la musique. Mase rencontre les MC's de son voisinage. A force de passer son temps dans les boîtes hip-hop, il fait la connaissance de Keith Murray, MOP, Redman et Busta Rhymes. Lors d'un voyage à Atlanta, il rencontre Puff Daddy et celui-ci l'invite à participer au remix de 112. Ensuite, Mase va collaborer avec de nombreuses stars du R&B comme Notorious B ou Mariah Carey qui collectionnent les disques de platine. Avant de créer un single à lui, Mase est déjà connu du public. Il rejoint dès 1997 la famille de Bad Boy Entertainment. En 98, il présente un premier album très attendu. Harlem World qui montre avec humour comment Mase touche son public. Il veut marcher dans les traces de Notorious Big et collectionner les disques de platine.
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Jibbs
18/06/2007 02:58
Jovan Campbell plus connu sous le nom de Jibbs est un rappeur né le 1er novembre 1990 à Saint-Louis, Missouri. Il est signé sur le label Geffen Records
Jibbs avait à peine 9 ans lorsqu'il commença à rapper dans son quartier. A 16 ans, il sort son premier album "Jibbs Feat. Jibbs" sur le label Geffen Records le 24 octobre 2006. Son single "Chain Hang Low" a réussi a entré dans le Top 10 du Billboard avant même que l'album ne sorte. Jibbs s'est engagé à ne dire aucune injure tant qu'il sera sur son label, ce qui est peu fréquent de nos jours. Jibbs assure en ce-moment la première partie sur la tournée de Snoop Dogg & P. Diddy.
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Tony Yayo
18/06/2007 03:04
Marvin Bernard dit Tony Yayo (né le 31 mars 1978 à Port-au-Prince à Haiti) est un rappeur américain aux origines haitiennes, ami de longue date de Curtis Jackson (50 Cent).
Incarcéré, il purgeait des peines fédérales pendant l'ascension au sommet de 50 Cent. Son premier album, sans doute le plus long à venir et la sortie la plus anticipée de G-Unit, Thoughts Of A Predicate Felon, montre cette réalité. “Mon album n'est pas de la fiction,” dit Yayo. “Tout ce qu'il y a sur l'album sont des choses que j'ai faites ou vues, et la majorité de l'album a été écrite en prison, c'est la raison pour laquelle les enregistrements agressifs sont si hards.” Avec des beats violents l'album de Yayo est le plus street de tous les albums de G-Unit. “J'ai été avec Fifty depuis le premier jour. Alors j'ai étudié la manière dont il travaille.” dit-il.
Et personne n'est mieux équipé pour nourrir la rue que Yayo. Depuis qu'il est tout jeune, il est se sert d'armes, et c'est ce caractère qui a attire un jeune 50 Cent quand ils étaient dans le Southside du Queens. Tout ce qu'il a fallu, c'est qu'ils se rencontrent au coin d'une rue à Jamaica, pour qu'ils se trouvent des points communs. “Fifty, pourrait voir en moi ce que je vis, et on rappait tous les deux alors c'était une amitié naturelle,” dit Yayo, qui idolatrait des légendes du rap telles que Big Daddy Kane et Kool G Rap, “Alors on a commencé à travailler ensemble dans la rue et quand il a commencé à faire du rap plus sérieusement, il m'a pris avec lui, parce qu'il savait que j'étais bon.”
Au milieu des années 1990, pendant que Fifty travaillait avec Jam Master Jay, Yayo faisait des rap battles avec d'autres rappeurs locaux du Queens comme les Lost Boyz. “J'y amenait tout le monde à l'époque,” se souvient-il. Mais quand Fifty allait percer, il s'est reçu les trois fameuses balles (sur neuf). Mais les deux personnes, rejointes par le jeune Lloyd Banks ont transformé ce drame en triomphe. “Aussitôt que Fifty s'est remi, nous avons commencé à travailler sur les mixtapes” dit Yayo qui a joué son rôle malgré l'insupportable situation qui était contre eux. “Et c'est la que Fifty a crée le G-Unit.”
Mais durant l'été 2002, juste au moment où toutes les pièces commençaient à être à leur place, Yayo a été arrêté pour possession d'arme dans son quartier. Yayo a refusé de se rendre, préférant enregistrer des mixtapes et faire des tournées avec Fifty. Il a été capable de s'imposer en tant que membre de G-Unit. Mais comme il aurait pu s'en douter, Yayo s'est fait arrêter en décembre 2002, quand l'entourage de Fifty s'est fait fouiller à l'extérieur du Copa Cabana nightclub.
Yayo a purgé sa peine et en janvier 2004 il est sorti de prison et à commencé à enregistrer son album.
“J'ai le plus d'amour pour Banks et Buck parce qu'ils ont repoussé la sortie de leurs albums afin que je puisse y avoir un verset.,” dit-il. “Je n'ai fait que le bonus sur l'album de G-Unit, mais ils savaient que c'était important d'y figurer pour moi.” En plus, Yayo a fait une apparition sur l'album de The Game et sur le 5 fois de platine "The Massacre". De plus, il a réalisé son album avec l'aide de Fifty et du producteur Sha Money XL.
Même si son premier opus n'a pas réalisé de ventes comme ceux de Banks et Buck, il a atteint son objectif et il a reussit à vendre plus de 1,200,000 copies.
Suite à une altercation entre Tony Yayo, et un fils (14 ans) de Jimmy Henchemen (manageur de The Game), Tony Yayo a subit des attaques avec des armes de gros calibre, contre la maison de sa famille. Tony Yayo ne risque, aujourd'hui, pas seulement la prison, mais aussi la mort.
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